La sauvegarde des ordinateurs et des données n’a jamais été aussi importante à notre époque. Les fichiers professionnels et personnels peuvent être plus susceptibles que jamais de faire l’objet d’une demande de rançon ou d’attaque de virus supprimant les données

• 70% des entreprises perdent des données chaque année

• 80% des entreprises ferment dans les deux ans à la suite d’un sinistre informatique majeur

• 58% des TPE et PME ne protègent pas leurs données

En tant que chef d’entreprise, vous êtes responsable de l’archivage – et donc de la sauvegarde informatique pour entreprise des données à conserver.

Vos appareils peuvent cependant s’endommager ou être endommagés, entraînant une perte, parfois irréversible, de vos données. Afin de prévenir un tel risque, il est fortement conseillé d’en faire des copies pour préserver vos données à long terme.

Voici 10 bonnes pratiques à adopter pour gérer efficacement vos sauvegardes.

1. Effectuez des sauvegardes régulières de vos données sur un NAS ou sur le cloud (de préférence

2. Identifiez les appareils et supports qui contiennent des données

3. Déterminez quelles données doivent être sauvegardées 

4. Choisissez une solution de sauvegarde adaptée à vos besoins

5. Planifiez vos sauvegardes

6. Déconnectez votre support de sauvegarde après utilisation

7. Protégez vos sauvegardes

8. Testez vos sauvegardes

9. Vérifiez le support de sauvegarde

10. Sauvegardez les logiciels indispensables à l’exploitation de vos données

Voici une liste non exhaustive des sanctions auxquelles vous vous exposez en cas de non-respect de vos obligations légales :

Pour les données concernant la fiscalité : vous risquez une majoration allant de 10 à 40% selon l’article 1728 du code général des impôts.

Dans le cas d’un contrôle fiscal, le non accès aux documents par les agents des impôts est sanctionné par une amende de 25 000 euros doublée de 6 mois de prison en cas de récidive.

La sauvegarde des données personnelles est soumise à une obligation de sécurité qui doit être garantie par le chef d’entreprise. Si cette obligation n’est pas respectée, l’amende peut atteindre 300 000 euros et être accompagnée de 5 ans de prison.

L’équipe de Chr365 est à votre disposition pour toute question ou audit à ce sujet.